
1/ Comment décrivez-vous votre parcours ?
2/ Comment vous est venue l’idée de fonder Noémiah ?
3/ Quelles ont été les difficultés rencontrées ?
4/ Quel conseil donneriez-vous à un entrepreneur en démarrage ?
Au départ, ma plus grande crainte était de m’éloigner de ma vision artistique, de mes idées, de ce que j’ai réellement envie de faire. Il faut rester fidèle à soi-même et à ce que l’on veut faire et offrir.
Il faut aussi se trouver un bon réseau de collaborateurs, ne pas avoir peur de cogner aux portes de personnes dans ton domaine, qui vivent la même réalité que toi, avec qui tu peux partager et échanger. Pour ma part, ça m’a beaucoup aidée et la majorité sont devenus de bon(ne)s ami(e)s.
5/ Comment voyez-vous votre cie dans 1 an, 5 ans, 10 ans ?
Dans mes rêves les plus fous, je fais un stage chez Delpozo en Espagne et je pars en France perfectionner la broderie à la maison Lesage. Je veux rencontrer des gens inspirants, travailler d’autres matières, sortir de ma zone de confort pour mieux revenir.
6/ Un(e) entrepreneur(e) qui vous inspire.
7/ Votre rêve le plus fou ?
Je ne sais pas si vous avez eu la chance de voir le documentaire Dries, mais il y a une scène en particulier où il doit faire des choix pour la prochaine collection et le sol est rempli de tissus, de différentes matières… ça m’a beaucoup marqué !
Mon rêve le plus fou serait de créer des accessoires et des vêtements sans aucune limite, budgétaire certes, mais aussi en termes de matériaux, de moyens, de tissus…

Vous aimeriez vous procurer une de ses créations ?
Noémiah compte plusieurs points de vente, ainsi qu’une boutique en ligne.
Laissez-vous inspirer et tenter par sa Collection Anniversaire en collaboration avec Very Joëlle.

Coup de coeur maintenant dans ma garde-robe : la cravate brodée en atelier.
